La réconciliation économique représente une avenue pour plusieurs Premières Nations de prendre en main leur développement en utilisant les ressources de leur territoire ancestral. L’une des avenues passe par l’établissement de partenariats afin d’établir des relations justes et équitables.
Dans un article publié dans Le Devoir, le président-fondateur et conseiller principal de l’Institut Ashukan, Alexandre Bacon, cite en exemple la décision de la communauté de Mashteuiatsh de développer les ressources énergétiques de son territoire au tournant des années 90. Cette décision a mené à la mise en place de la centrale Minashtuk sur la rivière Mistassibi. Ce premier projet a pavé la voie à d’autres partenariats pour le développement de minicentrales.
Aujourd’hui, la communauté profite de cette expérience pour développer de nouveaux projets d’énergie renouvelable et se tourne vers l’avenir.
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